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La Société Textile de Kisangani a été créée en 1971, suite à la convention signée entre la R.D.C. et le groupe Beaujolin et Cie de France.

2004 :

Photo extraite de ce document. Cette "carte de visite" de la société Sotexki ainsi que plusieurs photos de l'intérieur et de l'extérieur des bâtiments ci-après sont publiées ici grâce à l'aimable autorisation de Monsieur Glombert Loko, Directeur Général.

Février 2008 :

Aperçu de la cour de l'usine avec à gauche le Tissage et la Filature et à droite le magasin central et l'hôtel de l'administration.


Aperçu de la cour extérieure de l'usine avec en évidence la Filature.


La cour extérieure de l'usine vers l'entrée avec plus loin le magasin transit sous douane.


L'Usine 2 pour la production de sacs et de drill.  


Vue de derrière du magasin central.


Aperçu de la cour de l'usine vers la droite en sortant de l'usine.


Balles de coton prêtes à subir les opérations de nettoyage et de traitement devant le battage de la filature.




Les boches sur les continus à filer.


Les bancs à broches.


Métiers à tisser au tissage avec des machines à l'arrêt.


Métiers à tisser Sulzer en état de fonctionnement.


L'entrée de la villa A1 ayant une piscine et un aperçu panoramique sur la rivière Tshopo avec un vaste jardin paradisiaquement fleuri.


Vue de face de la villa A1 donnant vers la rivière Tshopo.


Le jardin entre la villa et la Tshopo.


Quelques plantes du jardin entre la villa et la Tshopo.

Octobre 2008 :


24 juin 2013 :
Sotexki à Kisangani
Accompagné de ses homologues de la République du Soudan du Sud, le Gouverneur Bamanisa visite les installations de l'usine de la Société Textile de Kisangani.

Sotexki à Kisangani

Sotexki à Kisangani

Sotexki à Kisangani

Le site internet de la SOTEXKI : www.sotexki.com

Février 2019, visite de la Sotexki :
Sotexki Kisangani

Sotexki Kisangani

Sotexki Kisangani

Sotexki Kisangani

Sotexki Kisangani

Sotexki Kisangani

Sotexki Kisangani

Septembre 2019 :

Sotexki
En visite à la SOTEXKI, des invités belges sont habillés avec le tissu produit sur place.

Vers 2020 :
Sotexki
A noter à gauche : les bovins au pâturage.

Au moins 300 agents de la Société textile de Kisangani (SOTEXKI) sont au chômage depuis la fermeture de cette entreprise en juillet 2022. Cette fermeture est due principalement à une détérioration du tissu économique causée par les pillages, les rébellions et le manque de financement. Cette situation a engendré une importante perte financière pour la SOTEXKI et pour les gouvernements local et central. En outre, le marché local est inondé de produits provenant d’usines textiles asiatiques, vendus à bas prix, ce qui impacte fortement la compétitivité de la société.

Les responsables de cette société expliquent qu'elle ne pouvait plus faire face à certaines charges d’exploitation ni renouveler son matériel. La majorité des travailleurs, soit environ 300 personnes, ont été renvoyés en congé technique.

A son apogée , la SOTEXKI comptait 2 500 employés et fonctionnait en continu avec trois équipes sur 24 heures. Cet arrêt de trois ans a provoqué une déstabilisation sociale parmi les employés, avec trente-huit mois de salaires impayés.

De plus, plusieurs employés ne peuvent pas partir en retraite faute de fonds, alors que le personnel nécessite un renouvellement.

A sa création, la production de la société était estimée à 1 500 000 mètres linéaires de tissu, mais elle a diminué progressivement pour atteindre environ 60 000 mètres avant la fermeture en juillet 2022. Aujourd’hui (octobre 2025), l’usine est totalement à l’arrêt, avec ses quatre départements (filature, tissage, finissage) non opérationnels, sauf un service de maintenance.

L’usine souffre de la vétusté des machines, qui datent de son inauguration il y a plus de 50 ans, et du vieillissement du personnel. La concurrence déloyale des tissus asiatiques contrefaits qui inonde le marché local à des prix très bas, a contribué au déclin de cette entreprise qui suffoquait déjà, explique Marcel Mwamba Mpiana, directeur intérimaire de cette société.

Pour sa part, le sous-directeur du département de tissage, Joseph Bauma, rapporte que malgré plus de 300 000 mètres de tissu non encore imprimé prêts à être transformés et environ 400 tonnes de coton provenant de Dingila et Mahagi (zones d'approvisionnement principal), l’activité reste paralysée depuis trois ans.

( Source Radio Okapi - Jean-Jacques Mukonkole - 3.10.2025 )

 

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